Le livret A : une épargne en perdition

Le livret A : une épargne en perditionSi les français ont la réputation d’être de vraies fourmis en matière d’épargne, l’annonce d’une baisse du taux de rémunération de leur livret préféré risque de contrecarrer leurs projets de placement.

Déjà en février dernier, ce même taux avait été raboté, passant de 2.25 % à 1.75%. Pourtant,  l’Etat et la Banque de France envisagent de nouveau une baisse, diminuant le taux de rémunération de 1.75% à 1.25% ! Cette prochaine annonce est confortée par la Caisse des Dépôts, son directeur s’exprimant, récemment, en ces termes « …moins l’épargne est rémunérée, et donc moins elle est coûteuse pour la Caisse des Dépôts, plus les offices HLM à qui nous prêtons s’y retrouvent. »

Autrement dit, cette annonce n’est peut être qu’une simple rumeur, mais elle intervient bien dans la continuité de la politique gouvernementale en matière de logement social et de chasse à l’économie.

Au-delà des préférences et traditions de chacun, peut-on dire d’un placement avec un taux de rémunération qui avoisine les 1% qu’il est pertinent ? Pas besoin d’être un professionnel de la finance pour répondre à cette question. Mais alors, quelle alternative avons-nous pour continuer à mettre notre argent de côté, sans qu’il soit grignoté totalement par l’inflation ? L’assurance-vie ? Il semble que, là aussi, un durcissement de la fiscalité est envisagé.

Face à l’inefficacité de l’épargne classique, pourquoi ne pas se tourner vers l’épargne immobilière ? Et oui, la pierre : la valeur refuge des français ! Elle ne dévalue pas, et malgré la pression fiscale ambiante et la crise économique sévère que nous traversons, elle propose toujours de véritables solutions modulables selon notre situation personnelle et patrimoniale.

C’est vrai, les montants à placer ne sont pas toujours les mêmes que l’on épargne sur un livret ou que l’on investisse dans l’immobilier. Pourtant opter pour ce dernier reste le placement le plus performant dans sa finalité. Pourquoi ? Lorsque vous investissez dans l’immobilier, vous financez, la plupart du temps, cette acquisition à crédit. Concrètement, vous remboursez tous les mois à votre banquier une somme pendant un temps donné. Certains parlent d’épargne « forcée ». Le mot est un peu rude, mais il souligne d’autant la productivité de cet effort par la régularité et l’obligation de ces versements … Ce que tout épargnant ne s’impose pas forcément de lui-même. De plus, une autre part non négligeable de votre investissement dans la pierre est payée par le locataire, ce qui n’est pas le cas dans une épargne monétaire ou sur un livret.

Maintenant, l’heure n’est plus au choix mais à l’acte immobilier car c’est le seul moyen d’assurer cet argent que nous, pauvres fourmis, souhaitons mettre de côté pour passer l’hiver ! Les indicateurs économiques le confirment, le moment est propice pour acheter de l’immobilier. Selon une étude Ipsos récente, 76% des français pensent que c’est « le bon moment d’acheter » et 71% sont conscients de la réelle attractivité des taux d’emprunt, descendus sous la barre des 3% depuis le mois de juin. Quant aux prix de l’immobilier, après une légère baisse, ils se sont stabilisés pérennisant et confirmant la valeur de l’immobilier.

Profitez de cette période estivale pour choisir en toute tranquillité votre bien immobilier neuf, qui deviendra le support incontesté et durable de votre épargne. Qu’il prenne la forme d’immobilier résidentiel avec la loi Duflot, ou d’investissement en résidence-services (meublé), avec une gestion assurée et un loyer garanti par bail commercial de 9 à 12 ans.

L’immobilier est LA solution pour votre épargne.